Chorégraphie : Davide Bombana
Musique : J-S Bach
Durée : 25 mn
19 danseurs
« L’art de la Fugue m’a toujours fasciné pour sa complexité, mais aussi et surtout pour la grande émotion que cette musique sublime transmet.
Je trouve en général les musiques de Bach idéales pour la danse et dans le cas de "l’art de la fugue" on est devant la maturité d’un génie même si la mort a empêché Jean-Sébastien Bach de compléter la pièce, on n’a jamais été vraiment sûr ni de l’ordre exact des fugues ni du type d’instruments ou d’ensemble qui auraient dû être utilisés.
Tout ca donne un sens de mystère et de fragmentaire qui rend cette musique encore plus irrésistible.
J’utilise pour mon ballet plusieurs des diverses versions musicales de la pièce mais le ballet commence et termine avec le clavecin. Le ballet n’a pas d’histoire, je me suis simplement laissé conduire dans ce labyrinthe de "Thèmes et de Variations" laissant la danse, dans sa forme la plus pure et abstraite, parler à travers sa beauté, ses dynamiques, ses pulsations. »
Photo : Nathalie Sternalski
Chorégraphie : Julien Ficelly
Musique : Création d’Anthony Rouchier
Durée : 15 mn
10 danseurs
A travers les filigranes musicaux librement inspirés de la 7ème symphonie de Beethoven, les danseurs tissent un espace imaginaire, un entre-deux situé quelque part entre la réalité sonore et la présence réelle des corps sur scène. Un rythme gagné (Beat Win) pour un espace inventé (Between) à la fois précis, distendu, compact et délié... Une recherche des paradoxes où se fondent les jeux de lumières, pour mieux confondre espaces rêvés et inventés. Un voyage où le chemin est seule finalité, l'histoire d'un itinéraire qui flirte avec l'envers de la trame musicale.
Photo : Nathalie Sternalski
Chorégraphie : Jean-Christophe Maillot
Musique : Meredith Monk
Reprise de répertoire créé en 2000
Durée : 20 min
20 danseurs
Dans Opus 40 créé en avril 2000, Jean-Christophe Maillot revient vers un travail plus intimiste dans la veine des ballets tels que Dov'é la Luna et Vers un Pays Sage.
Il poursuit l'exploration de son propre vocabulaire chorégraphique qu'il développe dans l'univers informel du peintre américain George Condo sur la musique expérimentale de Meredith Monk.
« L'écriture sophistiquée, le jeu doux amer entre les couples, l'interruption soudaine de l'œuvre, alors qu'un couple danse encore, donne le sentiment d'une pièce coupée dans la matière du temps qui s'échappe. »
Les Saisons de la Danse - juin 2000 - Philippe Verrièle
Photo : Nathalie Sternalski
Chorégraphie : Francesco Curci
Musique : Kenya Dubois (Blink) Manuel Wandjil (Strange way) Mogwai (Cody)
Durée : 20 mn
15 à 20 danseurs
Et si l’on pouvait vivre pour toujours dans une jeunesse éternelle?
Dans cette pièce, le chorégraphe développe ses interrogations sur la vie éternelle avec ses impacts positifs ou négatifs... Serions-nous capables de nous réinventer sans cesse, tout en laissant derrière nous les personnes que nous aimons et auxquelles nous tenons.
Photo : Nathalie Sternalski
Chorégraphie : Christophe Garcia
Musique : Laurier Rajotte
Durée : 7 mn
2 danseurs
Ce duo s'arrête un moment auprès dans le parcours de deux jeunes hommes.
Ils sont liés une histoire, par un passé mais aussi et surtout par une volonté commune d'aller de l'avant.
Ils s’appuient l’un sur l’autre, s’accompagnent, se soutiennent et avancent ainsi... La vivacité, l’impulsivité, l’exaltation y croisent le doute, les chutes, les impasses.
Photo : Nathalie Sternalski
Chorégraphie : Auguste Bournonville
Musique : Matthias Strebinger
Durée : 10mn
2 danseurs
Danseur et chorégraphe danois Auguste Bournonville (1805-1879) est à l'origine plus de cinquante ballets. Contrairement à la tendance du ballet romantique de l'époque, Bournonville ne place pas la danse masculine en retrait de la danse féminine, mais il confère au danseur une importance équivalente à la ballerine. Il reste fidèle à la grâce, à la légèreté et au lié des mouvements du style français. Dépourvus de portés, les pas de deux privilégient le jeu entre les danseurs.
Le « Pas de deux » extrait de La Fête des fleurs à Genzano est l'une de ses chorégraphies les plus abouties sur fond de duo amoureux. À travers la légèreté des pas et des sauts répétés, il développe une technique complexe dont le résultat est sublime, devenue une référence dans l'école du ballet.
Chorégraphie : Ben Van Cauwenbergh
Musique : Jacques Brel
Durée 3mn
Solo
Photo : Nathalie Sternalski
Chorégraphe : Répertoire
Musique : Adolphe Adam
Durée : 8 mn
2 danseurs
Photo : Nathalie Sternalski